Préambule – Prefazione – Vorwort
Isabella von Treskow
Du camp au mémorial, de la littérature à l’Histoire
Cette part jamais fixée, en nous sommeillante,
d’où jaillira DEMAIN LE MULTIPLE.
(René Char, « Transir », dans La Parole en archipel.)
La teneur symbolique que nous assignons à ce qui nous entoure est bien supérieure à ce dont nous avons généralement conscience. Rien ou presque n’échappe au jugement, à l’évaluation ou à tout le moins à l’insertion dans des contextes plus larges. Les êtres humains sont eux aussi jugés par des êtres humains, dès le premier coup d’œil et au-delà. Peut-on entendre parler d’autres personnes sans que cela aille de pair avec un tel jugement? Pour toute classification, le système symbolique du langage, système de communication et système d’attribution de sens, revêt une importance particulière. La fonction de la parole littéraire dans ces processus peut être fort diverse: productive et créatrice, affirmative, perturbatrice, critique, observatrice.
La catégorisation extrêmement poussée des êtres humains était à la base d’une institution comme le camp de concentration. Pour explorer la relation entre institution et expérience historique, entre fonction du langage et de la littérature, pratique culturelle et savoir culturel, s’est tenu en janvier 2014 au mémorial du camp de concentration de Flossenbürg et à l’Université de Ratisbonne (Regensburg) un atelier trinational. Les langues en étaient le français et l’italien, et il rassemblait des participants venus de France, d’Allemagne et de Belgique, issus des milieux universitaires et scolaires, des mémoriaux des camps de concentration ou du Ministère de la Culture et de la Communication. Était également présent le psychothérapeute new-yorkais Jack Terry, interné des années durant par le système nazi, d’abord dans un ghetto, puis dans des camps, détenu à partir de 1944 à Flossenbürg où, après des années de terreur, il vécut la libération à l’âge de 15 ans. Ce colloque s’inscrivait dans un domaine de recherche plus vaste1 à l’origine de plusieurs colloques et publications de la chaire de littérature française et italienne de l’Université de Ratisbonne, en dialogue permanent avec d’autres partenaires de recherche. Depuis 2010 s’est mise en place une coopération avec le Mémorial du camp de concentration de Flossenbürg2. Dans le contexte franco-allemand et germano-italien, justement, il existe une fructueuse coopération incluant l’organisation commune de manifestations et de conférences3, l’accompagnement de visiteurs et de témoins de l’époque ainsi que la conception de matériel pédagogique pour les enseignant_e_s de français et d’histoire, d’écrits et de publications scientifiques, et allant jusqu’à la rédaction de thèses de doctorat consacrées à la littérature née de la détention dans les camps de concentration et aux musées de la Résistance en France.
L’atelier présenté ici partait des données biographiques et locales. Les motifs fondamentaux du rapport entre la guerre, l’histoire, les persécutions, l’incarcération, la littérature et les arts s’y inscrivaient dans les cercles formés par les questions concrètes touchant spécifiquement à la recherche et à la pratique: que peut-on voir sur place, sur quoi a été mis l’accent en matière de pédagogie mémorielle, que voulons-nous savoir? Quelle est l’orientation suivie par la littérature (au sens strict et au sens large), en particulier celle thématisant l’histoire, ne serait-ce qu’ex negativo, et la littérature autobiographique, qui est ici le fait d’anciens détenus français, belges et italiens du camp de Flossenbürg? Comment est abordé le sujet de la dictature nazie dans le parcours scolaire, comment mettre en regard avec profit les situations française et allemande, quels sont les parallèles actuels en France et en Allemagne du côté des institutions éducatives?
Les contributions à cette section « Du camp au mémorial, de la littérature à l’Histoire » proviennent de cet atelier, qui a considérablement bénéficié de la rencontre avec Jack Terry. Cet axe thématique a été complété par la contribution de Jörg Skriebeleit intitulée « De l’exploitation des carrières de granit au réseau concentrationnaire – Le camp de concentration de Flossenbürg », afin de fournir également des informations historiques et politiques sur le camp et d’assurer ainsi une meilleure compréhension des contributions sur les récits mémoriels relatifs au système concentrationnaire de Flossenbürg. Les contributions retracent les lignes entrecroisées de la discussion menée autour de thèmes actuels de la culture mémorielle, avec un accent particulier sur l’emplacement et le système du camp de Flossenbürg ainsi que la littérature mémorielle, qu’elle soit ou non en rapport avec ce camp (contributions de J. Skriebeleit, d’I. v. Treskow sur la littérature mémorielle française consacrée au système concentrationnaire de Flossenbürg, de C. Nannicini Streitberger sur le point de vue italien sur le même sujet, de S. Segler-Meßner sur Charlotte Delbo et Robert Antelme). La poésie de Salvatore Quasimodo est passée en revue par A. Martini dans la perspective de l’entrelacement poétique du présent et du passé, de la temporalité et de la mémoire. A. Sennhauser analyse la « présence problématique » du passé dans plusieurs romans de Jean Echenoz, Patrick Deville et Jean Rolin. I. Milliès présente la sensibilisation au patrimoine culturel, notamment par une approche créative, comme l’un des objectifs majeurs de la politique éducative française dans le cadre de l’éducation artistique et culturelle. De même que durant l’atelier, il s’agit là de nouveaux parcours personnels dans la relation avec la littérature et l’art, l’histoire – nationale et européenne – et les mémoriaux.
Les contributions à cette section, dans lesquelles se croisent les chemins de la science et de la pratique culturelle, invitent à mettre au clair son propre rapport au savoir historique, à clarifier les perspectives et les attributions de sens, les attentes et les classifications, en ce qui concerne notamment l’histoire de la violence au xxe siècle ainsi que le potentiel de la littérature à notre époque.
(Traduction de l’allemand par Emmanuel Faure.)
Dal lager al memoriale, dalla letteratura alla storia
Cette part jamais fixée, en nous sommeillante,
d’où jaillira DEMAIN LE MULTIPLE.
(René Char, « Transir », dans La Parole en archipel.)
La carica simbolica che attribuiamo alla realtà è molto più forte di quanto generalmente ci si renda conto. Quasi nulla si sottrae a un giudizio, a una stima, quantomeno a una collocazione in contesti più ampi. Anche gli uomini si valutano reciprocamente, sin dal primo sguardo e ben oltre. In ciò che sentiamo dire di altri si annida anche un giudizio. Il sistema simbolico costituito dal linguaggio ‒ in quanto sistema di comunicazione e sistema di attribuzione di significato ‒ è di ragguardevole importanza per classificazioni d’ogni sorta. La parola letteraria interviene in tali processi con molteplici funzioni: produttivo-creativa, affermativa, sconcertante, critica, d’osservazione.
Un’istituzione basata in somma misura sulla suddivisione delle persone in categorie era il campo di concentramento. Per scandagliare il rapporto fra tale istituzione ed esperienza storica, tra la funzione di lingua e letteratura, prassi culturale e conoscenze culturali, nel gennaio 2014 ha avuto luogo, presso il Memoriale del campo di concentramento di Flossenbürg e presso l’Università di Regensburg, un workshop trinazionale in lingua francese e italiana cui hanno partecipato studiosi e operatori culturali provenienti dalla Francia, dalla Germania e dal Belgio e attivi in vari settori: università, scuola, Memoriale e Ministère de la Culture et de la Communication. Il convegno si è giovato, fra l’altro, della partecipazione di Jack Terry, psicoterapeuta di New York che ha alle spalle una pluriennale esperienza di prigionia nel sistema concentrazionario nazista, dapprima nel ghetto e poi nei lager, e che nel 1944 fu internato a Flossenbürg, dove rimase fino a quando, all’età di quindici anni, fu liberato dopo un lungo periodo di paura e tormenti. Il workshop si inseriva in un più ampio progetto di ricerca4 condotto – con diversi convegni e pubblicazioni – dalla cattedra di letteratura francese e italiana dell’Università di Regensburg, in continuo dialogo con altri centri di studio. La cooperazione con il Memoriale di Flossenbürg5 è parte integrante del progetto dal 2010. In particolare, nell’ambito dei rapporti franco-tedeschi e italo-tedeschi si è sviluppata una fruttuosa collaborazione che comprende eventi organizzati insieme,6 l’assistenza a visitatori e ad ex-internati che vengono a portare la loro testimonianza, la realizzazione di materiali didattici per insegnanti di francese e di storia, articoli e pubblicazioni di carattere scientifico, tesi di dottorato sulla letteratura di prigionia e sui musei della Resistenza istituiti in Francia.
Il workshop del gennaio 2014, intitolato “Du camp au mémorial: Nouveaux défis de la recherche et le devoir pédagogique”, ha preso le mosse da circostanze biografiche e locali. Come cerchi concentrici sono poi sorte, attorno ai temi di fondo legati al rapporto fra guerra, storia, persecuzione, prigionia, letteratura e arte, quelle domande che riguardano specificamente la ricerca e la prassi: che cosa c’è da vedere in loco, su quali aspetti pone l’accento il disegno pedagogico del memoriale, che cosa vogliamo sapere? Che indirizzo segue la letteratura, intesa in senso stretto e in senso più ampio, in particolare quella letteratura che tematizza la storia – sia pure ex negativo – e quella autobiografica, in questo caso di ex-deportati francesi, belgi e italiani internati nel campo di Flossenbürg? Come viene trattato a scuola il tema della dittatura nazista? Come si possono rendere visibili in maniera sensata specifici riferimenti franco-tedeschi? In quale direzione si muovono, in Francia e in Germania, gli enti culturali?
Gli articoli di questa sezione intitolata “Du camp au mémorial, de la littérature à l’Historie/Dal lager al memoriale, dalla letteratura alla storia” scaturiscono appunto dal succitato workshop, che ha tratto considerevole profitto dall’incontro con Jack Terry. A ciò si aggiunge l’articolo di Jörg Skriebeleit “De l’exploitation des carrières de granit au réseau concentrationnaire – Le camp de concentration de Flossenbürg”, volto a fornire informazioni storico-politiche sul lager e a rendere più comprensibili gli articoli dedicati ai resoconti che vertono sul sistema concentrazionario di Flossenbürg. I saggi qui proposti intessono una fitta trama di riflessioni e spunti di discussione su temi attuali legati alla cultura della memoria, con particolare attenzione per il luogo e il sistema del lager di Flossenbürg; al centro del discorso sta, inoltre, la memorialistica, cui si dedica uno sguardo che supera i confini di questo campo (si vedano, oltre al già citato articolo di Jörg Skriebeleit, i saggi di Isabella v. Treskow sulla memorialistica francese relativa al sistema concentrazionario di Flossenbürg, di Chiara Nannicini Streitberger sullo stesso tema ma trattato dal punto di vista italiano, di Silke Segler-Meßner su Charlotte Delbo e Robert Antelme). Alessandro Martini propone invece una rivisitazione della lirica di Salvatore Quasimodo sotto l’aspetto dell’incrocio poetico di presente e passato, temporalità e memoria. Anne Sennhauser discute la “presenza problematica del passato” nei romanzi di Jean Echenoz, Patrick Deville e Jean Rolin. Isabelle Milliès illustra, infine, quell’approccio creativo all’eredità culturale che costituisce un importante obiettivo delle politiche educative francesi nell’ambito dell’educazione artistica e culturale (“éducation artistique et culturelle”). Non diversamente da quanto si è verificato durante il workshop, si tratta qui di riflettere su nuovi rapporti personali con la letteratura e con l’arte, con la storia – quella nazionale e quella europea – e con i luoghi di commemorazione. Gli articoli di questa sezione, in cui si incrociano le traiettorie della ricerca scientifica e quelle della prassi culturale, invitano a chiarirsi le idee sul proprio rapporto con le conoscenze storiche, su prospettive e attribuzioni di significato, su aspettative e classificazioni, specialmente per quanto riguarda la storia della violenza del XX secolo, nonché sulle potenzialità della letteratura nell’epoca in cui viviamo.
(Traduzione dal tedesco di Giulia de Savorgnani.)
Vom Lager zur Gedenkstätte, von der Literatur zur Geschichte
Cette part jamais fixée, en nous sommeillante,
d’où jaillira DEMAIN LE MULTIPLE.
(René Char, « Transir », dans La Parole en archipel.)
Der symbolische Gehalt des Gegebenen ist weit höher, als uns meist bewusst. Fast nichts entzieht sich einer Beurteilung, einer Einschätzung, mindestens einer Einbettung in größere Sinnzusammenhänge. Auch Menschen werden von Menschen taxiert, vom ersten Anblick an. Hört man von anderen Menschen, ist bereits eine Wertung dabei. Für Klassifikationen aller Art hat das Symbolsystem Sprache als Kommunikationssystem und System der Sinnzuweisung eine herausgehobene Bedeutung. Das literarische Wort ist an diesen Vorgängen in sehr verschiedenen Funktionen beteiligt – produktiv-kreativ, affirmativ, verstörend, kritisch, beobachtend.
Eine Institution, die in höchstem Maße auf der Kategorisierung von Menschen basierte, war das Konzentrationslager. Um das Verhältnis zwischen der Institution und historischer Erfahrung, zwischen der Funktion von Sprache und Literatur, Kulturpraxis und kulturellem Wissen auszuloten, fand im Januar 2014 in der KZ-Gedenkstätte Flossenbürg und an der Universität Regensburg ein trinationaler Workshop in französischer und italienischer Sprache statt, dessen Teilnehmerinnen und Teilnehmer aus Frankreich, Deutschland und Belgien aus den Bereichen Universität (Dozenten, Doktorandinnen und Doktoranden, Studierende), Schule und KZ-Gedenkstätte bzw. Ministère de la Culture et de la Communication zusammenkamen. Dabei war auch Jack Terry aus New York, Psychotherapeut. Er war jahrelang Häftling im NS-System, zunächst im Ghetto, dann in Lagern, ab 1944 in Flossenbürg, wo er als Fünfzehnjähriger nach Jahren des Terrors die Befreiung erlebte.
Das Colloque „Du camp au mémorial: nouveaux défis de la recherche et le devoir pédagogique“ (2014) stand im Rahmen eines umfassenderen Forschungsschwerpunkts7 mit mehreren Tagungen und Publikationen, der am Lehrstuhl für Französische und Italienische Literaturwissenschaft der Universität Regensburg verankert ist und durch den mit weiteren Forschungspartnern in Deutschland und Europa ein Dialog besteht. 2010 begann die Kooperation mit der KZ-Gedenkstätte Flossenbürg.8 Gerade im deutsch-französischen und deutsch-italienischen Zusammenhang existiert eine fruchtbare Zusammenarbeit von gemeinsamen Veranstaltungen9 Besucher- und Zeitzeugen-Betreuungen über die Ausarbeitung von Unterrichtsmaterial für Lehrkräfte der Fächer Französisch und Geschichte, wissenschaftlichen Schriften und Publikationen hin zu Dissertationen über Literatur, die während der KZ-Haft entstand, und zu Widerstands-Museen in Frankreich.
Der Workshop ging von den biographischen und lokalen Gegebenheiten aus. Wie Kreise legten sich um die Grundsatz-Sujets des Verhältnisses von Krieg, Geschichte, Verfolgung, Gefangenschaft, Literatur und Kunst jene konkreten Fragen, die speziell die Forschung und die Praxis betrafen: Was ist vor Ort zu sehen, worauf liegt der gedenkstättenpädagogische Fokus, was wollen wir wissen? Welche Orientierung nimmt Literatur im engeren und weiteren Sinne vor, speziell jene, die Geschichte thematisiert, und sei es ex negativo, und jene autobiographische Literatur, in diesem Fall von französischen, belgischen und italienischen ehemaligen Internierten des Lagers Flossenbürg? Wie wird im Schulunterricht das Thema der NS-Diktatur behandelt, wie können deutsch-französische Bezüge sinnvoll sichtbar gemacht werden, was sind aktuelle parallele Entwicklungen in Frankreich und Deutschland seitens der Bildungsinstitutionen?
Die Beiträge dieser Sektion „Du camp au mémorial, de la littérature à l’Histoire“ entstammen diesem Workshop, der von der Begegnung mit Jack Terry erheblich profitierte. Ergänzt wurde für den Themenschwerpunkt der Beitrag von Jörg Skriebeleit „De l’exploitation des carrières de granit au réseau concentrationnaire: le camp de concentration de Flossenbürg“, damit auch historisch-politische Informationen über das Lager vorliegen und die Artikel zu den Erinnerungsberichten zum KZ-System Flossenbürg besser verständlich werden. Die Beiträge zeichnen ineinander verwobene Linien der Diskussion rund um aktuelle gedächtniskulturelle Themen nach, mit einem besonderen Schwerpunkt auf dem Ort und dem System des Lagers Flossenbürg sowie der Erinnerungsliteratur, nicht nur in Bezug auf dieses Lager (Beiträge von J. Skriebeleit, von I. v. Treskow zur französischen Erinnerungsliteratur zum KZ-System Flossenbürg, von C. Nannicini Streitberger aus der italienischen Perspektive zum selben Thema, S. Segler-Meßner zu Charlotte Delbo und Robert Antelme). Eine Revision der Lyrik von Salvatore Quasimodo unter dem Aspekt der poetischen Verschränkung von Gegenwart und Vergangenheit, Zeitlichkeit und Erinnerung unternimmt A. Martini. A. Sennhauser erörtert die „présence problématique“ der Vergangenheit in Romanen von Jean Echenoz, Patrick Deville und Jean Rolin. I. Milliès erläutert den Umgang, insbesondere auch kreativen Umgang mit dem kulturellen Erbe als ein wichtiges Ziel der französischen Bildungspolitik auf dem Weg der éducation artistique et culturelle. Nicht anders als während des Workshops geht es dabei um neue persönliche Beziehungen zu Literatur und Kunst, zu Geschichte – Nationalgeschichte und europäischer Geschichte – und Gedenkstätten. Die Beiträge dieser Sektion, in denen sich die Wege der Wissenschaft und die Wege kultureller Praxis kreuzen, laden dazu ein, sich über das eigene Verhältnis zum geschichtlichen Wissen klar zu werden, über Perspektiven und Bedeutungszuweisungen, über Erwartungen und Klassifikationen, besonders in Bezug auf die Gewaltgeschichte des 20. Jahrhunderts, und über das Potential von Literatur in unserer Zeit.
www.uni-regensburg.de/sprache-literatur-kultur/romanistik/literaturwissenschaft/projekte-von-treskow/index.html.↩
Je tiens à remercier ici M. Jörg Skriebeleit, directeur du Mémorial du camp de concentration de Flossenbürg, Mme Christa Schikorra, directrice du service pédagogique, M. Johannes Ibel, directeur du service des archives, Mme Irmgard Sieder, directrice de la bibliothèque, les collaboratrices et collaborateurs du Mémorial pour leur coopération constructive, ainsi que mes doctorant_e_s.↩
www.uni-regensburg.de/sprache-literatur-kultur/romanistik/medien/flyer_vibo.pdf; www.uni-regensburg.de/pressearchiv/pressemitteilung/507713.html.↩
www.uni-regensburg.de/sprache-literatur-kultur/romanistik/literaturwissenschaft/projekte-von-treskow/index.html.↩
Un ringraziamento particolare va al direttore del Memoriale di Flossenbürg, Dr. Jörg Skriebeleit, alla responsabile del dipartimento pedagogico, Dr. Christa Schikorra, al responsabile dell’archivio, Johannes Ibel, alla responsabile della biblioteca, Irmgard Sieder, a tutte le collaboratrici e i collaboratori del Memoriale per la costruttiva collaborazione nonché alle mie dottorande e ai miei dottorandi.↩
www.uni-regensburg.de/sprache-literatur-kultur/romanistik/medien/flyer_vibo.pdf; www.uni-regensburg.de/pressearchiv/pressemitteilung/507713.html.↩
www.uni-regensburg.de/sprache-literatur-kultur/romanistik/literaturwissenschaft/projekte-von-treskow/index.html.↩
Besonders danke ich an dieser Stelle dem Leiter der KZ-Gedenkstätte Flossenbürg, Dr. Jörg Skriebeleit, der Leiterin der Pädagogischen Abteilung, Dr. Christa Schikorra, dem Leiter des Archivs, Johannes Ibel, der Leiterin der Bibliothek, Irmgard Sieder, den dortigen Mitarbeiterinnen und Mitarbeitern für die konstruktive Zusammenarbeit sowie meinen Doktoranden und Doktorandinnen.↩
www.uni-regensburg.de/sprache-literatur-kultur/romanistik/medien/flyer_vibo.pdf; www.uni-regensburg.de/pressearchiv/pressemitteilung/507713.html.↩
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