Illusions perdues, « l’œuvre capitale dans l’œuvre »
Abstract
La lecture proposée d’Illusions perdues se place sous l’égide du propos balzacien pour tenter de cerner la singularité de ce grand roman. L’approche fait place à la genèse du roman, à ses effets pragmatiques, pour saisir en quoi il relève de la « porosité généralisée » qui caractérise La Comédie humaine dans son entier puis propose de lire dans ce texte – qui est aussi le « roman de David Séchard » – un ultime rêve balzacien.
Honoré de Balzac, Illusions perdues, éd. par Roland Chollet, in La Comédie humaine, dir. par Pierre-Georges Castex, t. V, Bibliothèque de la Pléiade 32 (Paris : Gallimard, 1977).
Schlagworte
Copyright (c) 2016 Dominique Massonnaud

Dieses Werk steht unter der Lizenz Creative Commons Namensnennung 4.0 International.